vendredi, mars 21, 2008

Le Voeu de Louis XIII

Un Roi, une Reine et toute une Nation implorent Dieu de donner un héritier au Trône

En 1615, âgé de 14 ans, Louis XIII épousait Anne d'Autriche qui était plus jeune encore. Selon la coutume, les époux royaux ne vivent guère entsemble, même plus tard; de surcroît, Richelieu tendra toujours, notre Pierre Delattre (4), à éloigner le Roi de la Reine, dont il craignait l'influence (en faveur de la paix). La Reine avait ses appartements au Louvre, et le Roi séjournait habituellement à Saint-Germain-en-Laye. Ceci n'affecta pas, d'ailleurs, la fidélité qu'Anne et Louis se promirent un jour.

Notre Dame de Grâces, CotignacOn ne s'inquiéta donc pas de la stérilité de leur union avant plusiueurs années. Après 10 ans de mariage, la question commença à être préoccupante, ne serait-ce que d'un point de vue politique. La Reine priait beaucoup à cette intention. Hélas, en 1630 encore, elle "avait eu une grossesse qui n'avait pas plus abouti que les autres" (4). On eût dit qu'il faudrait un miracle. Le miracle eut lieu, après 22 ans de mariage, par l'intercession de Notre-Dame de Grâces, et c'est bien ainsi que les royaux parents le virent: il prénommèrent l'héritier "Louis Dieudonné" (c.-à-d. donné par Dieu). Mais voyons-en les circonstances.

Le "Voeu" de Louis XIII se préparait...

En 1635, Louis XIII faisait alliance avec les Protestants de Hollande et envahissait la Belgique (les "Provinces-Unies"), catholique, unie à l'Espagne et alliée de l'Empire; la guerra allait durer près de 25 ans. En effet, la promenade militaire tourne mal: l'armée est proprement anéantie. Bientôt, c'est le tour des Impériaux d'envahir la France (1636-37), au point de menacer Paris. Le Roi qui, inquiet quand même, va prendre lui-même la direction des armées hâtivement rassemblées, fit alors le voeu de "fonder une lampe à perpétuité à Notre-Dame de Paris" (4) en cas de victoire; ce qui fut fait peu après (très prématurément, du reste: une bataille était gagnée, mais l'Espagne n'était pas vaincue pour autant. Peu importe pour nous).

L'idée de s'engager plus loin dans un voeu, de vouer le pays entier à Notre-Dame, était dans l'air. Tout le monde savait d'ailleurs que les Habsbourg catholiques, à qui l'on faisait la guerre, avaient consacré à la Vierge leurs personnes et leurs Etats; et qu'ils portaient son image peinte sur leurs étendars, et frappée sur leur monnaie... (4).

... et s'accomplit à titre de remerciement...

Notre Dame de Grâces, CotignacLouis XIII lui-même, Roi pieux mais d'une piété pas très ouverte à l'universalisme chrétien et à la cause de la paix, avait déjà esquissé diverses formules de consécration, conseillé par son confesseur, le Père Caussin, les choses n'avaient pas été plus loin. Cependant, en novembre 1637, un texte était enfin soumit au Parlement; il sera signé par le Roi le 10 février 1638, en son château de St-Germain, puis enregistré comme loi: c'est le fameaux "VOEU DE LOUIS XIII" -, (qui sera rappelé chaque année en la fête de l'Assomption de Marie, le 15 août) -). Que s'était-il donc passé en cette période?

Le Père Caussin, selon sa biographie (4), poussa le Roi à promulguer la consécration de la France "aussitôt qu'on ne douta plus de la grossesse de la Reine" - en février 1638, celle-ci était enceinte de deux mois. C'est un élément. Par ailleurs, trois jours avant le 10 févirer, Louis venait d'envoyer au sanctuaire de Cotignac un Frère Augustin déchausssé de Paris, le frère Fiacre (1609-1684), avec son supérieur, pour qu'y "soit célébrée pendant neuf jours la sainte messe, précisait l'ordonnance royale, afin que, par l'offrande de ce grand sacrifice, il plaise à la Divine Bonté d'accorder à la Reine, son épouse, une heureuse lignée et et conduire à la fin désirée le fruit dont toute la France espère qu'elle est enceinte". Le début de la lettre mentionnait "les grandes assistances que plusieurs femmes enceintes ont reçues pour la conservation de leur fruit par l'intercession de NOTRE-DAME DE GRÂCES". (7-8)

Notre Dame de Grâces, CotignacUn Roi, et un Roi circonspect, ne pose pas d'actes officiels à la légère; il doit avoir quelque certitude. Laquelle et pourquoi? Il nous faut revenir en arrière, peu avant le mois de novembre 1637...

... pour une grâce que le Roi davait encore recevoir...

Le 27 octobre 1637, tandis qu'il était en prière avec ses confrères dans le choeur, le frère Fiacre, déjà mentionné, eut une soudaine révélation intérieure: la Reine devait demander publiquement qu'on fît en son nom trois neuvaines de prières à la sainte Vierge, et un fils lui serait donné: la première neuvaine à Notre-Dame de Grâces en Provence, la seconde à Notre-Dame de Paris, la cathédrale, et la troisième à Notre-Dame des Victoires, l'église de son couvent. Il faut savoir que, deux ans auparavant, encore jeune novice, Frère Fiacre avait reçu la même inspiration, mais avec moins de force et d'urgence. Une nouvelle fois, néanmoins, ses Supérieurs restèrent sceptiques et lui interdirent d'en parler. Ou alors, il faudrait amener une preuve...

Six jours plus tard, le 3 novembre vers les 2 heures du matin, le pieux Augustin dans sa cellule est tiré de sa prière par des cris d'enfant. Étonnement et frayeur: il se trouve en face de la Vierge Marie, qui lui montre sur ses bras un enfant vagissant:

"N'ayez pas peur, dit-Elle, je suis la Mère de Dieu, et l'enfant que vous voyez est le Dauphin que Dieu veu donner à la France".

Et la vision dsparaît, puis se manifeste à nouveau un court moment, mais sans plus dire un mot. Enfin, deux heures plus tard, Marie se fit voir encore, mais seule, et dit:

"Ne doutez plus, mon enfant, de ce que vous avez déclaré à votre confesseur. Pour marquer que je veux qu'on avertissse la Reine de faire trois neuvaines en mon honneur, volà LA MÊME IMAGE qui est à Notre-Dame de Grâces, en Provence, et la façon de l'église".

Et Frère Fiacre vit avec précision le tableau ainsi que le choeur où il se trouvait (comme aujourd'hui).

Immédiatement mis au courant, ses Supérieurs qui, comme lui, ne s'étaient jamais rendu à Cotignac, consultèrent des amis qui avaient fait le pèlerinage: les descriptions correspondaient. Le 5 novembre, on rédigea un procès-verbal de tout cela, que toute la communauté des Augustins contre-signa (Le procès-verbal, les mémoires que Frère Fiacre rédigea par la suite, le procès-verbal même de l'ouverture de ces mémoires par Monsieur de Pompone, ministre de Louis XIV (après la mort dudit Frère) nous sont bien connus par la Vie du vénérable frère Fiacre, Paris, 1722, qui les cite in extenso. (7)), à l'intention du Cardinal de la Rochefoucauld. Car ces trois neuvaines étaient devenues une affaire d'Etat. Tôt informée, la Reine se mit à croire, dans la Foi, en la réalisation de ces promesses du Ciel transmises par Frère Fiacre. Son royal époux en entendit parler, de son côté. Mais l'avis du Cadinal était déterminant, et celui-ci se renseignait. Bref, le temps passait...

Notre Dame de Grâces, CotignacInsoucieux de toutes ces palabres et sous une forte inspiration intérieure, le 8 novembre 1637, Frère Fiacre avait déjà commencé les trois neuvaines au nom de la Reine. Celles-ci se terminèrent le 5 décembre suivant (la Reine l'apprit), soit, ainsi que le fait remarquer discrètement la biographie du vénérable Frère (8), "précisément neuf mois avant la naissance du future Roi Louis XIV"! Simple coïncidence? L'histoire nous apprend que non.

TEXTE DU "VOEU DE LOUIS XIII", conçu par le Roi comme un remerciement

Le Roi commence par rappeler, d'une manière générale, les divers évènements de son règne dans lesquels s'est manifesté le secours du ciel, comme les divisions des partis, la rébellion protestante et les guerres étrangères; puis, il déclare que ne se trouvant pas assez digne de présenter lui-même ses remerciements à la Souveraine Majesté, il prend pour médiatrice de sa reconnaissance envers Dieu, Celle qui a été la médiatrice des bienfaits. C'est pouquoi il ajoute:

"A ces causes, nous avons déclaré et nous déclarons que, prenant la très sainte et très glorieuse Vierge Marie pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne, notre État, notre couronne et nos sujets, et nous avertisssons le sieur Archevêque de Paris, et néanmoins lui enjoignons que tous les ans, fête et jour de l'Assomption, il fasse faire commémoration de notre présente déclaration à la grand'messe, qui se dira en son église cathédrale, et qu'après les vêpres dudit jour, il soit fait une procession en la dite église, à laquelle assisteront toutes les compagnies souveraines et les corps de ville, avec pareilles crérémonies que celles qui s'observent aux processions générales les plus solennelles; ce que nous voulons aussi être fait en toutes les églises, tant paroissiales que celles des monastères de la dite ville et faubourg, et en toutes les villes, bourgs et villages dudit diocèse de Paris. Exhortons pareillement les archevêques et évêques de notre royaume, et néanmoins leur enjoignons de faire célébrer la même solennité en leurs églises épiscopales, et autres de leurs diocèses, entendant qu'à la dite cérémonie les cours de Parlement et autres compagnies souveraines, et les principaux officiers des villes y soient présents, et d'avertir tous les peuples d'avoir une dévotion paritculière à la Vierge, d'implorer en ce jour sa protection, afin que, sous une si puissante patronne, notre royaume soit à couvert de toutes les entreprises de nos ennemis, qu'il jouisse longtemps d'une bonne paix, que Dieu y soit servi et révéré si saintement que nous et nos sujets puissions arriver heureusement à la dernière fin pour laquelle nous avons tous été créés, car tel est notre plaisir.

"Donné en Saint-Germain-en-Laye, le dixième jour de février, l'an de grâce mil six cent trente-huit, et de notre règne le vingut-huitième".

"Signé: LOUIS"

...mais dont il était sûr par la Foi!

En effet, ce jour même du 5 décembre, Louis XIII allait rendre visite au couvent des Visitandines, à Paris, où Melle de la Fayette était entrée selon son désir de toujours (4). Pierre Delattre, qui cite un auteur du début du siècle suivant, faisait remarquer que "dans ce grand 17e siècle, où la foi tenait une si grande place dans le monde, une foule de personnes du plus haut rang se faisaient un honneur et une joie de venir remonter le ton de leurs âmes et de leurs consciences au contact des âmes consacrées à Dieu." (4) Dieu ne manque jamais d'humour. Au sortir du couvent, Louis XIII est surpris par un orage d'une rare violence. Il va falloir passer la nuit à Paris, mais où aller? Il n'y a que les appartements de la Reine, au Louvre, qui soient susceptibles de le recevoir. Prévenue la Reine fut tout heureuse d'inviter son royal époux; ils dinèrent en tête-à-tête et ne se quittèrent que le lendemain.

Et nous en arrivons aux premiers jours de févirer 1638. Sentant l'enfant remuer en elle, la Reine n'eut plus qu'un désir: connaître le fameux Frère Fiacre. L'humble religieux fut donc obligé de se rendre au Louvre où, aussi confus qu'ému, il vit la Reine s'agenouiller davant lui et le remercier (8). C'est dire combien Anne d'Autriche avait confiance en l'heureux aboutissment de sa grossesse! Peu après, il dut également rencontrer le Roi qui le chargea, ainsi qu'un confrère prêtre, d'aller à Cotignac. Le 7 février, l'ordonnance royale leur prescrivant ce voyage leur parvenait: nous l'avons déjà citée (en p. 13). Le Roi veillait à tout ce qui pouvait faciliter le voyage: en fin de lettre, il ordonnait "à tous les gouverneurs et lieutenants généraux" de donner aux porteurs du pli "libre et sûr passage... en leur faisant toute faveur et assistance si besoin est requis en tout". Frère Fiacre n'en demandait pas autant pour se mettre en route!

Le Roi et la Reine étant absolument sûrs, dans la Foi, de l'heureux terme, il devanait absurde, voire indécent, d'attendre encore avant de promulguer le fameux "VOEU", conçu comme un remerciement. Trois jours plus tard, le Roi signait donc cette Consécration qui vouait la France à Notre-Dame.

La grossesse d'Anne d'Autriche fut ainsi la cause, occasionnelle sans doute, mais aussi détermiante de l'Acte du 10 février. Plus encore: il faut dire que cette Consécration fut un acte de foi chrétienne véritable.

Epilogue.

Le 5 septembre 1638 nassait l'hériter au trône, regardé par le couple royal comme une grâce obtenue par Notre-Dame de Cotignac. Louis XIII, annonçant l'heureux événement aux ambassadeurs, s'exprimait ainsi dans sa lettre: "Tout ce qui a précédé la délivrance de la Reine, le peu de durée de son travail et toutes les circonstances de la naissance du Dauphin font voir que ce fils lui est donné de Dieu par la puissante intercession de la Sainte Vierge." (8)

Quatre ans et demi plus tard, le Roi mourait, nommant Anne d'Autriche Régente du Royaume - elle le sera jusqu'en 1661 -. Pour son fils, alors âgé de 5 ans, elle espère une royauté qui soit illuminée par la Foi. En témoigne le tableau qu'elle fit peindre à ce moment du futur Roi iéal, lequel est représenté à genoux, offrant pieusement à Notre-Dame son sceptre et sa couronne (ce ne sera pas exactement l'image que l'histore retiendra du "Roi-Soleil"...) Et c'est Frère Fiacre qui est chargé d'acheminer le tableau jusqu'au Sanctuaire de Cotignac, en avril 1644, pour y être "appendu" (voir encadré ci-après).

Le vénérabel Frère aura encore une dernière occasion de faire le pèlerinage de Cotignac, mais auparavant, ce seront la Régente et le jeune Roi qui viendront. L'occasion leur fut fournie par le "Traité des Pyrénées", réconciliant en 1659 la France et l'Espagne. Etait prévue une rencontre des deux Rois, sur la frontière commune, afin de signer officiellement le Traité, et surtout d'en réaliser la clause principale: Louis XIV doit y rencontrer Marie-Thérèse, Infante d'Espagne, à qui il est promis. Le mauvais temps et l'hiver retardent le voyage. Dès l'arrivé à Aix, début 1660, la rumeur de la venue du jeun Roi au Sanctaire se répand jusqu'à Cotignac; chacun sait en effet qu "c'est un de ses voeux", comme le note la délibération du conseil de Cotignac du 20 janvier. Ce sera le samedi 21 févirer seulement que le cortège royal arrivera.

De par la Reine régente, mère du Roi,

Très chers et dévots orateurs, le frère Fiacre, religieux de l'Ordre des Augustins déchaussés, que nous affectionnons pour sa bonne vie, s'en allant à Notre-Dame de Grâces pour appendre, devant l'image de la Sainte Vierge, un tableau représentant le roi, notre très honoré sieur et fils.

Nous vous écrivons cette lettre pour vous dire que vous ferez chose qui nous sera agréable, de recevoir ce bon religieux, et lui permettre de placer le dit tableau en lieu le plus honorable de votre église, avec la dévotion et cérémonie convenable à cette action, en laquelle vous assurant que vous seconderez notre bonne intention par vos prières à Dieu, pour la prospérité du roi, notre dit sieur et fils; nous ajouterons seulement ici celle que nous faison à sa divine bonté, de vous avoir, très chers et dévots orateurs, en sa sainte et digne garde,

Donné à Paris le 4ème jour de mai 1644,

Signé: ANNE

(Lettre adressée par la Régente Anne d'Autriche aux Oratoriens ("Orateurs) de Notre-Dame de Grâces en 1644)

Un seul chemin "carrossable" (au sens propre!) atteignait alors le Sanctuaire, depuis la route de Montfort. Encore fallut-il l'élargir, et en un temps record! Ce "chemin de LOUIS XIV" - ainsi fut-il baptisé -, Louis, la Reine et tout le cortège le suivirent jusqu'à l'escalier qui reçut le même nom (p. 17). Le jeune Roi de 21 ans gravit-il ses 37 degrés à cheval? Des traditions orales l'affirment (8). Elles s'accordent en tout cas avec les archives municipales pour rapporter le don qu'il fit de sa bague en or et d'un cordon bleu.

Plaque de marbre gravé et apposée à la demande de Louis XIV, à la mémoire de sa mère Anne d'Autriche (+1666), pour rappeler les prières qu'elle fit à Notre-Dame de Grâces.

L'histoire le précise: il s'agit d'un long cordon de moire bleu céleste que portaient les membres du prestigieux ordre de chevalerie du St-Esprit. Louis XIV en était, comme tous les membres de la Famille Royale.

Le 6 juin 1660 enfin, Louis atteignait la frontière espagnole où Philippe IV et sa fille Marie-Thérèse l'attendaient. Le 7, il 'sen retourne avec celle-ci; le 9, à Saint Jean de Luz, le mariage religieux était célébré. De retour à Pais, il manda bientôt le Frère Fiacre pour aller offir en son nom à Notre-Dame de Grâces, plusieurs exemplaires dudit Traité des Pyrennées; ce dont Frère Fiacre s'acquitta en mars 1661, avant de continuer son pèlerinage vers Rome, mandaté cette fois par la Reine Anne. Celle-ci mourait en 1666. Un an après, dans le sanctuaire, Louis XIV faisait apposer une plaque à la mémoire de sa mère, rappelant qu'il fut "donné à son peuple par les voeux qu'Anne d'Autriche... a faits dans cette église." Elle s'y trouve toujours, bien lisible.

 son tour, le 16 février 1684, Frère Fiacre s'endormait dans le Seigneur. L'annonce de sa mort, répercutée par Le Mercure de Paris, fit quelque bruit (6)! Sa renommée de sainteté était telle que, selon l'Histoire de Paris de Dulaure (cité in 6), son portrait fut bientôt collé dans les voitures à cheval de Paris, "comme préservant du malheur", est-il précisé (les accidents de circulation n'étaient pas rares); la coincidence de son nom avec celui des fiacres y est peut-être pour quelque chose, ou quelque miracle? Il y eut encore un autre suite (cf p. 24).

Mais auparavant, un nouvel événement hors du naturel s'était produit à Cotignac, en la date du 7 juin 1660 déjà citée:

L'apparition de Saint Joseph, le 7 juni 1660

(À suivre)

Petite Bibliographie:

  • (1) Archives National. M 229 B, M 623
  • (2) BLANC Gabriel-Henri, Histoire religieuse de Cotignac, 1985, 319 p.
  • (3) BLANC Gabriel-Henri, le Var religieux, 1986, 705 p.
  • (4) DELATTRE Pierre, le voeu de Louis XIII, Paris, 1937
  • (5) DANIEL-ROPS, Histoire de l'Église, Tome 11, Paris, 1965
  • (6) DROCHON J.-E., Hostoire illustrée des pélérinages françcais de la Très Sainte Vierge, Plon, 1890
  • (7) LAURE Abbé, Histoire de Notre-Dame de Grâces de Cotignac, Marseille, 1886
  • (8) MARTEL pr. orat., Étude historique sur l'Oratoire de Notre-Dame de Grâces en Provence, Téqui, 1881
  • (9) MUSSET Lucien, Les invasions. Le second assaut contre l'Europe chrétienne (VIIe-XIe s.), PUF, 1971
  • (10) SEILLE Jacques, Histoire d'Entrecasteaux et de St-Antonin, 1984
  • (11) VIGNERON Paul, Histoire des crises du clergé français contemporain, Téqui, 1976
  • (12) VINCENT Abbé, Notice historique et populaire sur Notre-Dame de Grâces, 1918
  • (13) ALAIn Gérard, Essai sur la toponymie d'un village Varois, Cotignac
  • SAINTE CLAIRE Gabriel de a.d., Vie du vénérable frère Fiacre, Paris 1722 bibliothèque minicipale de Draguigan, FM 308 (par ex.)
  • LAURENTIN René, Le voeu de Louis XIII, passé ou avenir de la France, Paris, l'Oeil, 1988, 185p (concernant le chapitre 3).
  • BLANC Gabriel Henri, Souvenirs d'enfance, chez l'auteur, 3, rue d'Arcole, Cotignac 1991 (spécialement la 2ème partie, sur l'histoire de Cotignac au XXè siècle.)
Éditions du SUD-EST, 135, Bd des Remparts, F-83300 Draguignan
Association de Notre-Dame de Grâces, Père Chapelain, F-83570 Cotignac